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Rob Hoedemakers: s’appuyer sur son réseau pour réussir

 

Rob Hoedemakers a commencé en tant qu’ambassadeur de marque avec Geninc en 2019, alors qu’il cherchait un travail qui lui donnerait envie se de dépasser. Il a rapidement trouvé la motivation dont il avait besoin avec Geninc. Déterminé à réussir, il s’est investi pour devenir le meilleur en vente et aider les autres ambassadeurs de marque à faire de même. Depuis 2021, il dirige sa propre franchise Geninc à Gand, en Belgique.

 

Parle-nous de ton expérience avant de devenir ambassadeur de marque. Comment es-tu devenu ambassadeur de marque ?


Avant de commencer à travailler avec Geninc en 2019, j’étais ouvrier de production. J’ai d’abord travaillé dans une usine de silicium, puis dans une usine de bonbons, mais j’ai été licencié des deux parce que je n’étais pas assez impliqué, je ne me donnais pas à fond. Mon salaire était le même que je travaille bien ou pas donc je n’avais pas la motivation.

 

Je suis tombé sur une annonce Geninc postée sur Indeed et ça avait l’air différent des autres jobs auxquels je pouvais prétendre à l’époque. Je me suis dit : « Pourquoi pas tester ? » et j’ai rejoint le coworking hub d’Anvers en tant qu’ambassadeur de marque indépendant.

 

La principale raison pour laquelle je suis resté, c’est la connexion que j’avais avec Jorik (Jorik Van Rossum, franchisé Geninc à Anvers, ndlr) dès le début. J’avais l’impression de me voir en lui, et puisqu’il réussissait si bien, je me suis dit : « S’il y arrive, je peux le faire aussi. »


Beaucoup voient l’expérience d’ambassadeur de marque uniquement comme un moyen de devenir franchisé Geninc mais c’est aussi un moment dont il faut profiter.

 

Comment était ton expérience d’ambassadeur de marque ? Qu’est-ce qui te plaisait le plus à l’époque ?


J’ai adoré mon expérience d’ambassadeur de marque et je pense que c’est parce que je l’ai vécu exactement de la manière qu’il faut : faire du porte-à-porte sur le terrain, obtenir de bons résultats, coacher les gens et s’amuser. Beaucoup voient l’expérience d’ambassadeur de marque uniquement comme un moyen de devenir franchisé Geninc mais c’est aussi un moment dont il faut profiter. Personnellement, j’ai vraiment aimé.

 

La mentalité que j’avais quand je travaillais en usine a complètement changé quand je suis devenu ambassadeur de marque. J’ai toujours cru que j’étais paresseux, mais maintenant que je gagne plus dès que je travaille plus, je suis vraiment motivé.

 

Durant les premiers mois, je me suis efforcé de devenir le meilleur en vente. Mon objectif était de faire plus de 2000 € par mois parce qu’à l’époque, ma mère gagnait environ 2100 € par mois. Je voulais lui montrer que l’école ne fait pas tout et que quand on travaille dur, ça paye. Après trois mois, j’étais devenu plutôt bon en vente en porte-à-porte et j’avais atteint mon objectif financier. C’était vraiment un cap, pour moi.


Quand j’ai commencé à avoir plus d’expérience et à gagner plus d’argent en tant qu’ambassadeur de marque, j’ai décidé que je voulais partager les compétences que j’avais acquises, donc j’ai commencé à coacher d’autres ambassadeurs de marque. Pour être honnête, coacher était plutôt facile pour moi parce que j’ai vite compris le fonctionnement de Geninc et je savais que les franchisés expérimentés comme Jorik et Hamse (Hamse Abdullahi, franchisé Geninc à Bruxelles, ndlr) souhaitaient sincèrement me voir progresser. Je pense que le coaching gratuit qu’on nous propose est l’un des meilleurs aspects de Geninc, on bénéficie sans aucune condition de conseils de la part de personnes qui sont déjà franchisés et qui réussissent.


Quel a été ton plus gros challenge en tant qu’ambassadeur de marque ?

 

Le confinement a commencé alors que je préparais mon business case pour devenir franchisé. Puisqu’on ne pouvait plus faire de porte-à-porte, on avait la possibilité de suivre des visioconférences avec des franchisés seniors pour poursuivre notre apprentissage. Donc je continuais à progresser tout en préparant mon business case. À l’époque, je trouvais ça vraiment difficile, mais maintenant je me rends compte que c’était une bonne opportunité d’apprendre tout en réfléchissant à mes projets.

 

Parle-nous de ton parcours de franchisé : est-ce que tu te sens épanoui ? Quels sont les réussites et défis qui ont défini ton expérience ?

 

En tant que nouveau franchisé, j’ai décidé d’ouvrir ma franchise dans une nouvelle ville. Tous ceux qui connaissent un peu l’entrepreneuriat s’en douteront, cette décision a entraîné pas mal de défis pour moi et j’ai dû travailler dur pour que ça fonctionne, mais aujourd’hui ça fait plus de deux ans qu’on est ouverts et on s’en sort très bien. Chaque jour apporte son lot de nouveauté, je rencontre de nouveaux ambassadeurs de marque et je vois ceux avec qui je travaille depuis le début se développer pour devenir les futurs franchisés Geninc.

 

Tous les jours, je rencontre de nouveaux défis, il s’agit d’apprendre à les surmonter, à persévérer.

 

Il n’y a pas un seul challenge qui a vraiment défini mon expérience. Tous les jours, je rencontre de nouveaux défis, il s’agit d’apprendre à les surmonter, à persévérer, tout en m’assurant que je continue à proposer une opportunité intéressante et à favoriser une bonne ambiance de travail pour les ambassadeurs de marque.

 

Est-ce que tu as une autre activité en plus de ton activité de franchisé avec Geninc ? Comment tu arrives à faire les deux ?

 

En 2023, j’ai ouvert une agence qui organise des événements autour des voitures et motos. Tous les événements sont le week-end donc c’est plutôt facile pour moi de gérer ça en plus de ma franchise Geninc. Pendant la semaine, je trouve le temps de répondre aux appels et e-mails, et de gérer les réseaux sociaux. Je suis actif dans le milieu de l’automobile et de la moto depuis que j’ai 18 ans donc je connais bien la communauté. Je peux compter sur pas mal de monde et demander de l’aide quand nécessaire.

 

Cet été, je prévois d’ouvrir un salon de tatouage en plus. Je serai aidé par une amie, je ne m’en occuperai pas seul. Je suis bien entouré, ça aide beaucoup.

 

Quand on est ambassadeur de marque, on doit gérer beaucoup de choses en même temps. On apprend la vente, le coaching, le recrutement, la comptabilité et l’administration, tout ça à la fois. Je pense que ça nous enseigne à gérer plusieurs activités en même temps et que ça rend le tout plus facile, tant qu’on reste raisonnable et qu’on en fait pas trop.

 

Je ne vise rien en particulier, mais je vais continuer à donner le meilleur de moi-même et à faire les choses correctement, et je suis sûr que ça me fera progresser et grandir. 

 

C’est quoi la suite pour toi ? Quels sont tes plans pour ta franchise Geninc ?

 

J’espère ouvrir un nouveau coworking hub Geninc en Belgique en 2024. Je prévois aussi de coacher les ambassadeurs de marque qui travaillent avec moi à Gand car certains souhaitent devenir franchisés.

 

Pour ce qui est de mon propre développement, je ne vise rien en particulier, mais je vais continuer à donner le meilleur de moi-même et à faire les choses correctement, et je suis sûr que ça me fera progresser et grandir.

 

Enfin, pour ce qui est de mes objectifs personnels, je prévois d’acheter ma première maison, probablement avant la fin de l’année. J’ai besoin d’espace pour stocker mes voitures et mes motos... D’ailleurs, j’adorerais avoir une Lamborghini ! Je n’en suis pas là mais on peut rêver, non ?

 

Selon toi, quels sont les qualités à avoir pour être ambassadeur de marque ?

 

Je dirais l’honnêteté, la maturité, la proactivité et l’envie d’apprendre.

 

Tu as besoin d’honnêteté pour reconnaître tes erreurs. Tout le monde fait des erreurs, ce n’est pas grave. Tous les franchisés seniors ont commis les mêmes erreurs que toi. Si tu es honnête, ils sauront comment t’aider à rectifier le tir.

 

Je pense aussi que tu as besoin d’être mature pour prendre les bonnes décisions. J’ai manqué des fêtes et des vacances en famille durant mes trois premières années en tant que franchisé. Certaines personnes diront que c’est un sacrifice, moi je pense que c’est juste échanger du temps en famille contre du temps pour construire ta franchise, et c’est un choix qu’il faut faire pour atteindre son objectif.

 

Il faut que tu sois proactif pour t’améliorer constamment, essayer de nouvelles choses et trouver des solutions avant même que les problèmes surviennent.


Je suis persuadé que tout le monde peut apprendre à vendre mais il faut le vouloir.

 

Et enfin, tu dois avoir envie d’apprendre. Je suis persuadé que tout le monde peut apprendre à vendre mais il faut le vouloir. Pendant mes premières semaines sur le terrain, j’étais très mauvais en vente. Je ne suis pas très sociable, j’aime passer du temps seul, mais j’avais cette envie d’apprendre. Si j’ai réussi, tout le monde peut.

 

Ce sont les quatre qualités que je recherche chez un ambassadeur de marque. S’il les a, alors il a certainement une bonne éthique de travail.


 

Quel conseil tu donnerais à quelqu’un qui souhaite devenir franchisé ?

 

Tout d’abord, comprendre les demandes et attentes de l’industrie de la vente directe. Je conseille de networker avec des franchisés, ça permet de bien comprendre leur expérience et les potentiels challenges qu’ils peuvent rencontrer. Il faut aussi travailler ses compétences en communication et en vente, c’est crucial pour réussir dans la vente directe. Enfin, il faut être préparé à travailler dur et à s’investir car construire un business de vente directe demande du temps et des efforts.

 

Quels sont les avantages de l’indépendance ?

 

Le meilleur avantage, c’est la liberté, selon moi. Je peux gérer mon temps comme je le souhaite, si je dois rater une journée ou quitter le coworking hub pendant quelques heures, je peux. Et ce qui est amusant, c’est que même si je peux le faire, je ne rate jamais une seule journée.

 

Je construis mon propre futur, c’est une grosse motivation. 

 

Je pense que c’est aussi parce que mon travail me bénéficie directement maintenant. Je construis mon propre futur, c’est une grosse motivation.

 

À quoi peut-on s’attendre lorsqu’on travaille avec ta franchise ?

 

Il faut s’attendre à un mélange de productivité et de convivialité, un environnement qui regroupe toutes les conditions pour réussir. Notre coworking hub est pensé pour inspirer la créativité et favoriser la collaboration, mais il n’y a pas que le travail qui compte : je crois qu’il faut infuser du fun dans le travail quotidien. Par-dessus tout, il faut s’attendre à un environnement où l’on se soutient les uns les autres, où le travail est récompensé, où les idées sont encouragées et où l’on forme des liens.


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